GSC Game World qui développe la suite de S.T.A.L.K.E.R aurait à peine commencé le développement du titre. Le jeu aurait besoin d’un éditeur pour arriver à terme.
Cheeki breeki
Toute la communauté gaming était en liesse le 16 mai dernier : S.T.A.L.K.E.R 2 avait été annoncé sans que personne ne s’y attende. On rappelle que le titre avait déjà été annulé une première fois en 2012 et que c’est un peu le “Half-Life 3” de certains joueurs.
Cependant, la révélation de l’existence de S.T.A.L.K.E.R 2 fut un peu trop… formelle. À part une image du titre du jeu avec une date hypothétique pour 2021, il n’y a absolument rien d’autre à se mettre sous la dent, et cela suscite quelques interrogations.
C’est Sergey Galyonkin — responsable de publication chez Epic Games et insider de légende surtout connu pour avoir créé Steam Spy — qui lâche la première info concrète sur un podcast russe (merci, DSOG).
On apprend alors que la date lointaine n’est pas anodine puisque le développement du jeu n’a tout simplement pas commencé. S.T.A.L.K.E.R 2 est dans une phase de préproduction encore très peu avancée et cette annonce sortie de nulle part avait surtout pour but d’attiser la hype des joueurs, afin de rencontrer des éditeurs à l’E3 qui seraient d’accord pour financer le jeu.
Galyonkin aurait eu cette information grâce à son travail chez Epic Games, car GSC aurait déjà fait une demande de licence pour utiliser l’Unreal Engine 4.
De plus, le monsieur confirme que des membres clés de l’équipe originale de S.T.A.L.K.E.R sont bels et bien sur le projet, et que ces derniers travaillent en parallèle des développeurs de Cossacks.
Il n’y a plus qu’à souhaiter bonne chance au studio pour attirer un éditeur, et un gros. Un qui serait capable de soutenir un jeu qui aurait la prétention d’être aussi marquant que le premier S.T.A.L.K.E.R, voire de faire mieux.
En tout cas, il va falloir être patient, puisque tout reste à faire.
S.T.A.L.K.E.R 2 est prévu pour 2021.
ils auraient du faire un kickstarter ça montrerait la motivation du publique aux editeurs