Tout est dans le titre. Pas la peine d’essayer d’en savoir plus. Allez, bisous. Passez un bon weekend.
Dieu n’existe pas
Vous savez ce qui était bien avec Nintendo à l’époque de la NES et qui avait largement contribué à l’image de la firme de Kyoto ? Le Nintendo Seal of Quality. Pendant très longtemps, la marque n’autorisait la commercialisation de jeux sur sa console qu’à de rares élus. Des jeux qui ont réussi à prouver qu’ils étaient bons et dignes d’être sur une plateforme de Nintendo.
Avec l’annonce d’Agony sur Switch, on regrette très fortement que cette tradition se soit perdue.
En effet, l’éditeur polonais Forever Entertainement a déclaré que le jeu des enfers (littéralement) allait sortir sur la console de Nintendo, avant la fin de l’année. Laissez-la tranquille, elle n’y est pour rien…
Déjà une catastrophe technique sur les plateformes classiques, on se demande si la petite hybride va supporter toute cette quantité de traumatisme. Cocax en parle mieux que moi…
L’information rapportée par Nintendo Life ne précise pas si Madmind Studios est derrière ce portage, connu pour être en difficulté financière depuis l’échec commercial (et critique) de son jeu.
Quand je disais aujourd’hui que le portage de Civilization 6 sur Switch était un peu chelou, c’est clairement parce que j’avais oublié que celui-ci supplante tous les autres.
Il semblerait même que Sid Meier ait déclaré en 2008 que le Nintendo Seal of Quality était l’une des trois plus grandes innovations de l’histoire du jeu vidéo, afin d’éviter d’inonder le marché de shovelwares. Comme quoi, tout se recoupe.
Agony est disponible sur PC, PS4 et Xbox One, et le sera sur Nintendo Switch. Dieu ait pitié de son âme.