Remedy nous explique en vidéo que Control se démarquera de façon prononcée par rapport à ses autres jeux, beaucoup moins porté par une narration linéaire.
Tu penses avoir le contrôle, mais en fait, non
Le nouveau titre de Remedy Entertainment, Control, avait pas mal intrigué lors de son annonce à l’E3 dernier, avec son trailer cryptique et mystérieux. Le studio se confie dans un making-of en quoi se démarque le titre par rapport à ses précédents travaux.
Si on retrouve bien la patte épurée du studio après Quantum Break, Control n’a finalement pas grand-chose à voir (à part être un shooter à la troisième personne). Paul Ehreth, lead designer du projet, nous indique que c’est le jeu le moins linéaire que le studio n’ait jamais conçu. Le terme de “monde ouvert” n’a pas été prononcé, mais plutôt “d’interconnecté”.
Le joueur sera invité à revenir dans des endroits de The Oldest House qu’il a déjà visité , mais des changements plus ou moins subtils peuvent y être survenus entre temps. Le but étant de narrer l’histoire et l’univers du jeu de manière plus organique et plus naturelle, via une lecture poussée de l’environnement. Les interrogations du joueur face à des événements mystérieux, voire surréalistes, sont au coeur du propos de Control.
On se souvient des infos qui ont filtré de l’E3, il était même question de faire une progression proche d’un Metroidvania. Jessie débloquera des pouvoirs au fur et à mesure de l’aventure et ces derniers offriront de nouvelles opportunités de gameplay et débloqueront de nouvelles voies d’exploration de The Oldest House.
Du coup, la scénariste Anna Megill nous apprend que Control a un côté beaucoup moins cinématique que Quantum Break ou Alan Wake. C’est au joueur de choisir son itinéraire et de plonger volontiers dans l’univers de Control. On nous promet de nombreuses surprises.
Control sera disponible sur PlayStation 4, Xbox One et PC en 2019.