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Les annonces de l’été s’enchainent, et c’est au tour de Bandai Namco de montrer un peu son plus bel étalon de l’automne : Dragon Ball: Sparking! Zero atterrira sur notre bonne vieille terre le 11 octobre prochain. L’occasion de refaire un petit tour d’horizon de ses modes de jeu.
On commence par le mode histoire, ou plutôt Episode Battle, qui se jouera en solo et vous permettra de retracer la trame de Dragon Ball avec 8 personnages différents. Si elles ne seront pas toutes aussi longues, chaque petite campagne sera vue selon le point de vue d’un de ces 8 combattants et sera composée de cinématiques entrecoupées de combats emblématiques suivant les événements de la saga. Le truc, c’est qu’il sera visiblement possible d’influencer le scénario en prenant des décisions différentes de celles prises dans l’anime à certains moments clefs. Bref, de quoi apporter un peu de variété à une histoire que l’on connait déjà tous sur le bout des doigts.
Le mode Custom Battle pour sa part mettra le scénario de côté et vous proposera de prendre part à des combats avec des conditions de victoire ou des règles générales différentes de l’ordinaire. Ce mode se divisera visiblement en 2 autres : le Bonus Battles, dans lequel les combats ont été conçus directement par les développeurs et pourront même être entrecoupés de petites saynètes, et le Edi Mode qui vous permettra de personnaliser vous-mêmes les joutes en choisissant les combattants et les cinématiques de début et de fin. Celles-ci pourront ensuite être partagées avec le monde entier pour toujours plus de contenu.
Pour finir, le titre contiendra également un mode multijoueur local en écran partagé, mais attention, il y a un hic. Selon les concepteurs, ce Dragon Ball avait été conçu avec en tête uniquement des mode solo et du jeu en ligne. En conséquence, l’écran de sélection des personnages ne serait pas entièrement adapté – sans que l’on ne sache vraiment ce qui gêne – et, plus embêtant, la Salle de l’Esprit et du Temps sera le seul stage dans lequel vous pourrez vous mettre sur la poire. Oui, c’est quand même un joli sacrifice.
