Si l’apocalypse avait joliment débuté dans le premier opus de Dying Light, cette seconde version pousse les choses plus loin. Plus beau, plus grand, plus fort, plus… chaotique.
Faites place à l’âge sombre moderne
Si l’ensemble ressemble à s’y méprendre au premier titre avec une version encore plus sexy du moteur graphique, force est de constater que les promesses annoncées font plutôt rêver.
Pour la toute première fois dans Dying Light, les choix en jeu auront de réelles conséquences.
Des centaines de choix vraisemblablement déterminants façonneront non seulement votre manière de jouer, mais aussi la totalité de l’environnement dans lequel vous évoluerez.
Le résultat semble crédible, bien que le gameplay à l’air de rester inchangé.
Côté scénario, Techland s’associe avec une pointure dans le milieu de l’écriture : Chris Avellone (Fallout 2, Planescape : Torment, Baldur’s Gate…)
Ce dernier est apparu sur scène pour nous présenter les possibilités liées aux choix narratifs.
Nul doute que nous en apprendrons davantage dans les mois à venir.