La sortie officielle de PUBG s’est fait attendre (bien moins que certains autres jeux de ce genre, vous me direz) et son arrivée sur Steam ne s’est pas faite dans la tendresse.
Tout record est bon à battre
Après une arrivée remarquée au mois de mars, PUBG a créé beaucoup de succès. Il est devenu leader du genre “battle royale” grâce à des mises à jour fréquentes et une communauté de joueurs fidèles. La sortie de la version 1.0 sur Steam s’est donc faite remarquer. Ainsi, lorsqu’on jette un œil aux graphiques correspondants à l’utilisation de la bande passante, on constate que celle-ci a gonflé les statistiques courantes. Loin du trafic habituel tournant autour des 4 000 Gb/s, certains pics pointaient à 20 000 Gb/s pendant le téléchargement de cette mise à jour tant attendue.
Our bandwidth usage on @steam_games for the @PUBATTLEGROUNDS 1.0 launch was pretty nuts! The first bump was the final test server update, the second is the 1.0 launch… pic.twitter.com/X2nykzWPUY
— PLAYERUNKNOWN (@PLAYERUNKNOWN) December 21, 2017
Le trafic chinois, représenté par la couleur rouge, est indéniablement le plus actif (et celui qui compte le plus de tricheurs…). Cette dernière mise à jour apporte son lot de nouveautés comme la nouvelle carte Miramar, ainsi que de nombreuses nouveautés comme l’escalade ou de nouveaux types de saut. On compte désormais, toutes plateformes confondues, plus de 30 millions de joueurs autour du globe. Une nouvelle ère commence avec la sortie publique, l’occasion pour nous de vous concocter un nouveau tour d’horizon, des mois après son annonce.
Présentation de la nouvelle map désertique de PUBG aux Game Awards 2017
PUBG est disponible sur PC, et sur Xbox One/X en accès anticipé.
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