Sith sélec’
[mise à jour 22/11/2023 9h34]
D’après les indiscrétions du journaliste Jason Schreier, qui s’est exprimé sur Resetera avant de le faire sur X/Twitter, la situation serait un peu plus nuancée qu’initialement imaginée : deux employés de chez Saber Interactive lui ont tout bonnement assuré qu’en réalité le développement du projet suivait son cours.
Can’t say whether the KOTOR Remake will ever actually *come out*, but yes, two people from Saber Interactive tell me they’re still on it, despite recent rumors that nobody is working on the game. (Saber took the project from Aspyr last year, as Bloomberg reported then) https://t.co/prNTT6iVAy
— Jason Schreier (@jasonschreier) November 22, 2023
Je ne saurais dire si KOTOR Remake finira bel et bien par *sortir*, cependant deux employés de chez Saber Interactive m’affirment qu’ils travailllent toujours dessus, malgré les rumeurs du contraire. (le projet est passé des mains d’Aspyr à celles de Saber l’an dernier, comme Bloomberg l’avait alors rapporté)
[article original]
Triste lundi pour les nostalgiques du fameux KOTOR puisqu’à en croire les dernières infos de Giant Bomb, son remake ne serait plus en développement nulle part.
S’ils ne sont pas forcément synonymes d’annulation, les termes employés par Jeff Grubb sont hélas assez peu optimistes :
“Je veux juste éclaircir les choses, ce jeu n’est pas en développement pour le moment. C’est l’arrêt total, personne ne travaille dessus d’aucune manière que ce soit.”
Cette déclaration a bien sûr de quoi décevoir, mais elle ne risque pas en revanche de surprendre grand-monde ; la gestation du jeu s’étant montrée jusqu’à présent on ne peut plus chaotique.
Prévu originellement sur PC et PS5, le remake de Star Wars: Knights of the Old Republic qui avait d’abord été annoncé par Embracer, s’était ensuite échappé des mains du développeur Aspyr, avant d’être transféré à une branche européenne de Saber Interactive. Un changement de studio déjà inquiétant et qui n’avait été aidé ni par le retrait des trailers de la chaîne de Sony, ni par les déclarations léthargiques de l’éditeur.
Bon, on se gardera des rumeurs ou des jugements à l’emporte-pièce, mais pris l’un dans l’autre, difficile de ne pas voir dans ces signes les symptômes d’un diagnostic doucement morose.