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Ca y est, il est là. Il est enfin arrivé dans nos chaumières. Le fameux Fallout 4 est de sortie et met un terme à 7 ans d’attente pour les fans, si l’on exclue Fallout : New Vegas, paru en 2010. Bethesda Softworks avait annoncé son tout nouveau RPG en grande pompe lors de l’E3 2015, que nous avions eu le plaisir de suivre avec vous. Alors, qu’en est-il du messie made in Bethesda, se déroulant dans un Boston désolé?
Les Fleurs du Mal
Bon, mes petits enfants, on va commencer par le nerf de la guerre. Cela avait fait polémique il y a quelques temps et le studio de développement avait d’ailleurs répondu aux commentaires acerbes: Fallout serait moche, ou en tout cas très en dessous de ce à quoi on peut s’attendre aujourd’hui. Je ne vais pas vous faire languir plus longtemps: non, le jeu n’est, techniquement du moins, pas très beau. On est chagriné par le manque de beauté du titre qui ne fait clairement d’étincelles ainsi que par les défauts un peu redondants du type “ennemi abattu dont les bras passent à travers le décor”. Rendu en 2015 et pour un jeu de cette ampleur, ça fait quand même un brin tachouille. Malgré cela, il faut rendre à César ce qui est à César, comme disait ma mémé. En effet, la direction artistique du jeu est pour le coup vraiment géniale et on prend un plaisir non dissimulé et limite non dissimulable à faire son petit bonhomme de chemin. Les paysages sont réussis, beaux dans la façon dont ils ont été créés et véritablement fidèles à l’atmosphère post-apocalyptique. Je suis terriblement lassé de ce thème usé et abusé au fil du temps, surtout ces derniers temps, mais je dois bien avouer que Fallout 4 m’a agréablement surpris par son inspiration et son design, sans parler du côté technique. Voilà pourquoi je me suis permis l’emprunt de ce titre à Baudelaire, puisque cette œuvre littéraire consistait effectivement à tirer la beauté de la décrépitude. Sans aller jusqu’à utiliser un terme aussi assassin pour ce RPG hautement attendu, il faut bien reconnaître que c’est pas jojo.
Je me permets de m’attarder deux secondes sur quelques points. Prenons par exemple la modélisation des visages, qui s’assimile grossomodo pour moi à une campagne de prévention du lifting exacerbé. Si vous arrivez à décoder une quelconque émotion ou a ressentir une empathie avec les personnages en les dévisageant, je vous demanderai bien volontiers votre astuce pour passer outre cette façade lisse et impénétrable. Aujourd’hui, on est capable de faire beaucoup mieux et, dans un RPG, on ne peut pas dire que cet aspect connecté aux dialogues soit complètement anecdotique. Parlons aussi du sang. Comme d’habitude, certains points vitaux piquent tout particulièrement mon intérêt. L’hémoglobine en fait partie et, franchement, qui aurait cru que dans un Boston ravagé par les bombes atomiques, on trouve autant de ketchup? Ca fait splash-splash, sans finesse et, disons-le, ça fait TRES fake. Encore une fois, je me permets cependant d’attirer votre attention sur le bonheur visuel procuré par la direction artistique que je trouve tout bonnement irréprochable.
Il faut que vous le sachiez si vous jouez sur consoles: vous allez faire face à des chutes de FPS jusqu’à 20 images par seconde. C’est triste et rageant, et on espère que Bethesda va rectifier le tir. Dans l’ensemble, si vous en avez la possibilité, optez pour une version PC.
Un véritable bac à sable radioactif
Passé l’aspect graphique, il faut vraiment s’attarder sur le gameplay de Fallout 4, car c’est indéniablement sa grande force. Le level design est particulièrement soigné – autant que celui d’un jeu en monde ouvert peut l’être – et le théâtre de vos confrontations sera bien souvent pour vous l’occasion de vous approprier la scène de la manière qui vous plaira, en donnant le ton ainsi que le nombre de coups qu’il vous plaira. Sous cette métaphore filée, vous aurez sans doute compris que je veux faire référence à la façon de gérer les combats, dont la limite sera bien souvent votre imagination et les contraintes géographiques locales. Abordez vos ennemis comme vous le désirez: rentrez leur dans le lard et faites parler la poudre ou préférez les voies détournées et planquez-vous de façon à les éliminer un par un en devenant une ombre dans la nuit: invisible. Une liberté qu’on apprécie grandement.
Côté affichage, vous pouvez choisir d’opter pour une vue FPS ou TPS. Je suis plus particulièrement à l’aise avec la version FPS mais, très sincèrement, les deux sont réussies et agréables à jouer. Mention spéciale au caractère “shooter” de Fallout 4. En effet, les sensations ont été grandement améliorées depuis Fallout New Vegas et vous allez vous éclater avec vos armes. Je reviendrai sur le son mais je déclare au passage très solenellement que j’apprécie beaucoup les bruitages des tirs, même si j’aurais préféré que la mitrailleuse lourde associée à l’armure ait un son plus grave et tranchant avec des douilles qui tombent, s’il-vous-plaît.
Le problème qui se pose régulièrement quand on joue à un jeu comme Fallout 4, c’est qu’on accumule très vite toutes les merdouilles que l’on voit en jeu. “On sait jamais, ça peut servir”. On devient rapidement un ou une espèce de collectionneur/se compulsif/ve. Heureusement, Bethesda a pensé à vous et vous octroie les compagnons! Très, très peu intéressants sur le point de vue de la discussion (surtout si vous vous la jouez canin), ils sont en revanche bien utile quand il s’agit de transporter pour vous tous vos bidules. Ce sont, comme on a l’habitude de dire, des personnages “sac-à-dos”, sauf que là, on vous les fournit! Et il faut bien avouer que c’est très pratique et que ça ravit notre instinct de ratisseur d’objets.
Je voudrais un bonhomme de neige radioactive
Voilà, maintenant que j’ai bien pollué vos oreilles, je vais certainement vous décevoir, mais non, vous ne pourrez pas faire de bonhomme de neige. En revanche, on vous propose ici un mode de construction ainsi qu’un système de craft plutôt bien fichus que vous aurez plaisir à utiliser. Je dois avouer que l’E3 m’avait bien fait saliver avec cette fameuse possibilité de construire son propre fief défendu à coups de tourelles automatiques. Bien vite, votre chemin va croiser celui de miliciens (et déclencher de fait un tutoriel sur le fameux mode de construction) dont l’âme est habitée de la volonté de sécuriser les terres désolées. Aucun problème les copains, venez donc chez moi où tout est cassé et construisez des trucs. J’ai du Nuka Cola. A partir de là, vous devenez maître d’une véritable colonie et c’est vous qui décidez quoi construire et où afin de faire prospérer votre populace. Le système est prévu pour être très instinctif: dirigez-vous vers l’établi, intéragissez, placez votre construction où vous voulez, cliquez. Malheureusement, on ne sait pas ce qui s’est passé dans la tête des développeurs, mais visiblement, c’était le bordel. Poser une structure est une véritable galère du fait du manque d’ergonomie considérable inhérent à ce fameux mode de construction. Mais là où les développeurs ont eu un coup de génie, c’est qu’auparavant, une grande partie des objets que vous trouviez dans les terres désolées vous étaient parfaitement inutiles: ils prenaient de la place et ne valaient rien. Désormais, tout à de l’importance (d’où l’intérêt du compagnon, merci Bethesda) puisque ce sont ces merdouilles que vous allez démonter pour en extraire les composants constituant les ressources desquelles vous dépendez pour construire. Autant vous le dire: construire sa colonie, c’est le kiff, surtout quand il s’agit de la défendre contre les bandits, mutant, et autres habitants estimés des terres désolées.
Le système de craft, de son côté, est également accessible via l’établi et est pour le coup beaucoup plus agréable – et en même temps, c’est moins compliqué à mettre en place puisqu’il s’agit avant tout d’un menu. Quelle jouissance de modifier ses armes comme on l’entend, d’agrémenter ses armures de bonus et de créer soi-même ses packs de soin! Bethesda a apporté un soin tout particulier à celà, et il faut avouer que le rendu est très sympa et vous permet de vous amuser un peu plus en avant avec vos pétoires.
Le bac à sable prend l’eau
C’est un peu balo mais il fallait bien finir par y arriver: Fallout 4, au-delà de ses graphismes, n’est pas exempt de défauts, et pas des moindres. Commençons par la mise en scène… ridicule…
On est d’accord les copains: la mise en scène est primordiale dans un jeu de rôle. Bon, je ne vous ferai pas l’offense de vous gâcher le plaisir de découvrir le début du jeu, mais je vais quand même vous faire une recommandation: préparez-vous à bien vous marrer. Invitez votre famille, vos amis, prenez le pop-corn et imaginez que vous allez voir Transformers en étant persuadé que le scénario déchire. Non pas que l’intrigue soit si dégueulasse, mais sérieusement, la façon de le mettre en scène gâche absolument tout, nous éloignant une fois de plus de l’immersion, comme si les graphismes n’étaient pas suffisants. Bon, passons. On va se rabattre sur l’humour acerbe si cher à… Ah ben non, non plus. Bethesda s’est dit que finalement, l’âme de la série n’avait peut-être pas tant d’importance. Quelle perte mes enfants! Je me suis tellement amusé dans les précédents Fallout avec des dialogues emprunts de cynisme voire même de cruauté gratuite. C’est le bonheur des jeux de rôle, on fait ce qu’on veut! A ce sujet et préparez vos mouchoirs: vous n’avez pas tellement l’opportunité d’influer le dialogue avec vos gros muscles. Même chose, vous ne pouvez pas jouer un parfait abruti et ainsi générer de nouvelle options de dialogue rigolotes.
D’une manière générale, les dialogues sont… plats, irrémédiablement plats. J’irais presque à dire qu’on se fait quand même globalement chier. Clairement, ce ne sont pas les choix que vous pourrez faire dans vos réponses qui vont relever le niveau. Non mais sérieusement: 4 opportunités de réponse seulement? En réalité, ce que vous dites n’a que très peu d’influence hormis lors de quelques moments charnières de l’histoire principale. J’ai beaucoup de problème avec les studios qui perdent de vue ce qu’est un RPG et on est ici dans un cas typique. Ajoutons que ces choix sont de plus très peu détaillés, contrairement à avant, vous laissant parfois dans le flou quand à ce que tel choix va occasionner dans la bouche de votre héros. Saupoudrons le tout d’un scénario insipide et peu inspiré, et nous avons un cas classique de manque d’inspiration. Quel dommage pour une licence si riche!
Encore plus cool qu’un Nuka Cola
Malgré tout ces défauts, ne boudons pas notre plaisir. Car jouer à Fallout 4 se révèle être une expérience prenante, saisissante même. On s’amuse beaucoup, n’en déplaise. En l’occurrence, je me permets de pointer du doigt la durée de vie dantesque de ce titre qui a quand même de beaux arguments. Il semblerait bien que les 400 heures promises par Bethesda soient bien parties pour être remplies. Malgré tout et vous vous en doutez bien, ce n’est pas quelque chose que je peux vérifier à l’heure actuelle avec ma cinquantaine d’heures de jeu. Autant dire qu’entre toutes les activités qu’on vous propose, vous allez mettre le temps à tout boucler et pouvoir affirmer haut et fort: “J’ai torché Fallout 4!”. C’est d’ailleurs directement lié à la carte du titre. En effet, Bethesda n’ayant pas communiqué sur la superficie en kilomètres carré, il est compliqué d’estimer celle-ci. Néanmoins, on doit bien reconnaître que le jeu est extrêmement dense en terme de contenu. Il y en a littéralement partout. Ne vous méprenez pas: ce n’est pas mal organisé, simplement le contenu est incroyablement étoffé.
Je mentionnais subrepticement les combats un peu plus haut. Ceci a bien droit à un paragraphe dédié car il s’agit d’une des grosses forces de Fallout 4. Comme je le disais, les sensations en combat ont été franchement améliorées et là ou Fallout 3 pouvait franchement évoquer la lourdeur et le cassage du rythme en combat, son petit frère est une réussite en tout point. Foutez Call of Duty à la poubelle, Fallout 4 est là. C’est bien sûr exagéré, mais je peux vous le dire sans rougir: je prends véritablement mon pied à défourailler de l’ennemi sur le jeu de Bethesda. C’est nerveux, ça bouge, on sentirait presque ses mains trembler sous l’action des tirs. Surtout que plus vous montez en niveau, plus vous allez prendre plaisir à utiliser vos armes (modifiées par vos soins, ne l’oubliez pas). Le SVAV est plus efficace et jouissif que jamais. Mmmh? Le SVAV? Mais si! Vous savez! “Système de Visée Assistée Vault-Tec”! Ce superbe système qui vous permet de faire pause et de concentrer votre prochain tir sur un élément particulier du corps de votre ennemi. L’action ne se fige désormais plus. En effet, elle progresse lentement. Ainsi, si par manque de chance vous avez choisi de déclencher le SVAV pile au moment où la tête de votre ennemi (dans laquelle vous aimeriez bien percer un trou) est cachée par un poteau, vous pouvez attendre patiemment que celle-ci se découvre pour loger votre balle entre ses deux yeux.
C’est la guerre mon capitaine
Qu’on soit bien d’accord: Fallout 4 n’est pas vierge de tout défaut, ça c’est sûr. Cependant, on ne peut pas nier qu’on éprouve un plaisir fou à parcourir à nouveau les terres désolées. Les améliorations apportées au côté “shooter” du titre sont indéniables et vous promettent de beaux moments, de même que le contenu extrêmement riche du titre. Sur le banc des accusés, on aperçoit le scénario, les dialogues, les graphismes et le côté RPG qui en prend franchement un coup dans la gueule. Oui, ce sont de gros problèmes mais oui aussi, Fallout 4 reste jouissif et on aurait tort de se priver de le dire. Eclatez-vous comme les bombes atomiques l’ont fait avant vous!
[Points Positifs]
- Un SVAV au top!
- Des combats nerveux
- Un level design soigné
- Multiples possibilités pour approcher les combats
- Une direction artistique aux petits oignons
- Le feeling des armes
- Le crafting
- Le mode de construction, qui doit largement être amélioré sur le plan ergonomique malgré tout
[Points Négatifs]
- Des pertes de FPS colossales sur consoles
- Des dialogues et un scénario insipides
- Une VF désastreuse
- Les choix de dialogues
- Côté RPG, on a vu franchement mieux
- Des graphismes d’un autre âge (ou presque)
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belle présentation =p merci
Très déçus de ce jeu.
Tout le monde a l’air de passer a coté que ce jeu trahis completement l’essence de la série.
Pas de choix moraux, beaucoup trop gentillais ici. Ce qui était une force de la série et même le plus gentillet de la série (le 3) en avait quelques un, ici nada.
Systeme de Karma absent.
Jeu au premier dégré, alors que l’énorme force de Fallout c’est souvent son second ou troisième degré.
En clair ceux qui veulent un vrai fallout aurait mieux fait d’acheter wasteland 2, ce jeu ci ne mérite pas ce nom.
A la limite Skyrym apocalipse mais clairement pas fallout.
Si tu lis ce test tu pourras constater effectivement mon amère déception du manque de côté rôliste de ce Fallout 4. Néanmoins, on ne peut pas juger un jeu uniquement en tant que "descendant" d’une série et seulement en regard de ses prédécesseurs. Si tu le prends tel quel, sans avoir un autre Fallout en tête, il reste néanmoins un titre sur lequel on s’amuse vraiment, d’une certaine manière à mon grand désespoir…
Quand je vois les points négatifs j’ai du mal à capter une note si généreuse, pour moi les dialogues et le scénario sont des éléments capitaux dans un rpg, bien plus que les graphismes, je ne peut cautionner un Fallout aseptisé !
En résumé Fallout 4 est certes un bon jeu mais c’est aussi un mauvais épisode de la série Fallout. :(
C’était malheureusement prévisible dans le sens ou on avait eu le même problème avec Fallout3 (développé par Bethesda) comparé à Fallout New Vegas (développé par Obsidian), espérons que le prochaine volet soit développé par les gars d’Obsidian qui sont bien plus doués en terme d’écriture !
Verdict : je me le prendrai quand il aura baissé de prix et sera patché/moddé par la communauté ! ^^
Comme je le disais: "on ne peut pas juger un jeu uniquement en tant que « descendant » d’une série et seulement en regard de ses prédécesseurs". Oui les points négatifs sont présents, oui je suis déçu par un certain nombre de choses, mais, encore une fois, je ne peux pas nier que, pris seul, ce Fallout 4 est un très bon jeu. J’ai toujours trouvé dommage qu’on réduise un titre à son historique.
Je comprends ton point de vue SUPERWHO, mais je ne suis qu’à moitié d’accord avec le fait oblitérer sciemment qu’un jeu fait partie d’une série pour se consacrer uniquement sur les qualités et défaut de ce titre uniquement.
Faire partie d’une série ça a des avantages, à commencer par le fait d’être une licence connu et donc bien souvent attendu des joueurs, mais ça a forcément pour inconvénient que chaque nouveau titre sera logiquement comparé aux précédents et que les fans de cette licence auront des attentes bien plus fortes que s’il s’agit d’une nouvelle licence inconnue.
Surtout ça fait des années que les Fallout souffrent de certains défauts récurrents (des jeux techniquement à la traîne, animations raides, IA facile a feinter, interface pas ergonomique sans mods, qualité d’écriture fluctuante…) et pourtant les développeurs ne font pas grand chose pour corriger ces problèmes clairement identifiés !
J’ai l’impression qu’ils se reposent trop sur l’aura de la licence et que si ce jeu n’était pas un Fallout, au vu de ces défauts, beaucoup de sites, notamment US qui ont souvent tendance à surnoter les grosses licences, lui mettrait quelques point en moins ! ;)
Je ne doute pas que le jeu reste agréable à jouer mais un jdr, dans un univers post-apo, qui fait dans le scénario et les dialogues consensuels pour moi c’est une très gros défaut qui mérite d’être sanctionné !
C’est vrai, mais la comparaison excessive aux précédents opus d’une série est bien souvent une excuse pour bloquer l’innovation au sein d’un jeu. Je suis bien d’accord que ça n’évolue pas toujours dans le bon sens mais parfois on a trop tendance à se dire que ça n’évolue pas dans le bon sens, alors qu’en réalité c’est juste pour nous et notre relation à cette série que c’est le cas. Bref je comprends parfaitement qu’un fan de Fallout soit déçu par ces GROS défauts (moi le premier) et c’est pourquoi je les mentionne allègrement. Néanmoins c’est vrai qu’il n’est pas forcément bon de ne pas tenir compte des attentes légitimes inhérentes à une licence.
Ha ouais. Mettre 17/20 à un jeu de rôle qui a comme points négatifs, selon le même site :
– Des dialogues et un scénario insipides
– Côté RPG, on a vu franchement mieux
Fort. Très fort :D
merci pour ce test ! je croit que je vais faire comme <a href=’http://www.warlegend.net/members/Gorilla/’ rel="nofollow">@gorilla</a> je vais attendre un peu