Double bouclier ; la meilleure défense, c’est l’attaque
On s’y attendait (et la connaissait déjà), Assassin’s Creed: Valhalla a enfin une date de sortie : le 17 novembre. Durant l’Ubisoft Forward, l’éditeur est revenu un peu sur le contenu et les fonctionnalités du jeu.
Le joueur incarne Eivor, un·e Viking de Norvège durant les raids de la Grande Bretagne aux prémisses du Moyen-Âge. Comme tout bon combattant scandinave qui se respecte, il sera possible d’attaquer des villages dont les ressources récupérées permettront de développer ses propres campements, et conquérir des territoires en attaquant des châteaux forts.
Si le titre devrait mettre l’emphase sur la coopération du joueur avec son clan, il sera toujours possible d’explorer le monde ouvert à la recherche d’un meilleur matos et autres secrets. Des ennemis uniques rôdent un peu partout et demanderont des tactiques particulières pour être vaincus.
Dans le gameplay, le joueur devrait avoir une grande liberté d’approche et de styles de jeu, où il sera possible de mixer différentes armes, jusqu’à manier un bouclier dans chaque main. Toutefois, Assassin’s Creed: Valhalla n’oublie pas ses racines et poussera parfois le joueur à s’infiltrer dans les villes et villages (bien qu’un·e grand·e blond·e barraqué·e ne soit pas forcément très discret), en utilisant la foule et les interactions dans l’environnement. Ça manquait.
Valhalla a l’air assez classique (proche d’Origins et Odyssey), mais devrait apporter suffisamment de nouveautés pour s’approprier une personnalité et éviter la redondance. C’est tout ce qu’on demande.