Voui, bon, c’est quasiment la même chose
La découverte de Brutal DOOM par le grand public a offert un second souffle au genre des vieux FPS (également appelés Boomer Shooters). On estime même que le mod de DOOM a inspiré id Software pour DOOM 2016, donnant l’occasion à une licence mythique de retrouver sa superbe en allant à contre-courant des tendances du marché. Il était alors évident que SGtMarkIV allait créer son propre jeu. Bon, le type a souvent été imbu de lui-même et “un peu” borderline dans ses opinions, mais il faut avouer qu’il sait y faire.
Bon, Brutal Fate ressemble TRÈS fortement à Brutal DOOM au premier abord, mais le développeur brésilien a pour ambition d’en faire un titre long et réfléchi, pouvant aller bien plus loin que ce que proposait le fameux mod.
Explorez d’énormes niveaux non linéaires, recherchez des secrets pour trouver des types de munitions alternatives rares spéciales pour vos armes, des améliorations de santé et d’armure, et bien plus encore. Pas de “niveaux générés de façon procédurale”, pas de niveaux faussement rétro avec des arènes, juste des niveaux fabriqués à la main par quelqu’un avec plus de 10 ans d’expérience dans la conception de niveaux de jeux classiques. Vous aurez l’impression d’explorer un lieu crédible, de combattre des ennemis dans de nombreux scénarios différents, scénarisés ou non, de les choisir seul ou en petits groupes, et parfois d’essayer de trouver une stratégie pour combattre jusqu’à 50 ennemis à la fois.
Le titre reprend alors de nombreuses idées de Brutal DOOM, des giclées de sang aux marines qui peuvent accompagner le joueur, nécessaire pour venir à bout des hordes de monstres qui se jetteront sur eux. Tournant également sur le moteur open source GZDoom qui simule le moteur d’id Software de 1993, il sera tout aussi facile de modder Brutal Fate.
Le titre sera disponible en janvier 2021 en accès anticipé sur Steam, accompagné d’une démo incluant les deux premiers niveaux.
Et Brutal Hexen, promis sur sa putain de page Patreon ? Hein ? Ah bah ça personne n’en parle hein !