Oh, et on a une date de sortie
Après des reports et quelques fuites, Far Cry 6 se montre enfin avec les images de gameplay qui vont avec. En 5 minutes à peine, Ubisoft résume bien les nouveautés apportées par ce nouvel opus qui sera disponible le 7 octobre sur PC, consoles Xbox et PlayStation.
Bienvenue à Yara, une île inspirée par Cuba qui a la révolution dans le sang. Ça tombe bien, puisque le dictateur actuel, Anton Castillo incarné par l’omniprésent Giancarlo Esposito (Breaking Bad, The Mandalorian), ferait bien de prendre ses clics et ses clacs avant de se prendre une guérilla dans les dents. Le joueur incarne Dani Rojas (homme ou femme au choix, nouvelle marque de fabrique d’Ubisoft) qui se trouve le goût de la justice, à l’aube même de son départ de l’île. Il·Elle prendra la décision de prendre les armes pour tenter de renverser le pouvoir.
Manifestement, la formule de Far Cry ne devrait pas bouger des masses, bien Ubisoft compte sur l’introduction de nouveaux joujoux pour renouveler l’intérêt de la franchise. Far Cry: New Dawn n’était pas une franche réussite, mais le dernier titre semble avoir fait des petits : les guérilleros ont appris à se débrouiller en développement des armes artisanales assez loufoques, du lance-clous pneumatique au canon électrique en passant par un lance-disques mortel qui blast la Macarena. Sûrement un stock d’invendus de CD de Los Del Rio.
En cas de besoin, Dani pourra compter sur les Supremos, des sacs utilitaires à choisir qui font un peu office de capacités ultimes : lance-flammes, jetpack, barrage de roquettes, les Supremos devraient débloquer des situations complexes de façon explosive.
Bien sûr, que serait un Far Cry récent sans coéquipiers ? S’il n’est pas encore clair si Dani pourra recruter d’autres guérilleros sous ses ordres, des familiers seront bien de la partie, et ils ont du chien, comme Chorizo, le petit teckel à roulettes trop mignon qui peut distraire les ennemis (histoire qu’ils voient quelque chose d’agréable juste avant de mourir). Pour ceux qui aiment les soutiens plus directs, un crocodile en chemise devrait faire l’affaire, surtout dans les zones marécageuses.
C’est sans oublier les véhicules qui restent un aspect important de la licence, avec la possibilité de les personnaliser ou de conduire des tanks, histoire de semer toujours plus la mort et la destruction révolution.