Oh, oh…
Teasé depuis quelques semaines (voire quelques années avec les événements Archives), Blizzard dévoile enfin des infos précises sur le gameplay de Ramattra, le prochain tank d’Overwatch 2 qui sera disponible lors du lancement de la saison 2, prévu pour le 6 décembre.
L’omniaque révolutionnaire à la tête du Secteur zéro est présenté par les développeurs comme un tank “tempo”, dont le pouvoir ultime change radicalement le gameplay pour provoquer un maximum de chaos dans l’équipe adverse.
Dans sa forme normale, Ramattra est plutôt un adepte de la défense active, un peu à la manière de Sigma, tirant un flux constant de dégâts combinés à des barrières créés à distance, avec la possibilité de générer des zones d’interdiction dans le but de contrôler le terrain.
Mais c’est sous sa forme “Nemesis” qu’il faut le craindre, puisque Ramattra devient soudainement plus imposant, ce qui lui octroie un bonus important d’armure, tout en voyant toutes ses capacités améliorées, tandis qu’il génère un champ de dégâts terrifiant tout autour de lui.
Tandis que les joueurs réclament un remaniement de la classe de soutien dans l’espoir de rendre le rôle plus intéressant à jouer, Overwatch 2 s’apprête à profiter d’un nouveau tank assez original dans sa conception et son exécution, décrit comme le personnage le plus intimidant et imposant du roster.
Bien entendu, lors du lancement de la prochaine saison prévue pour le 2 décembre, Ramattra sera réservé aux joueurs ayant déboursé de la monnaie sonnante et trébuchante pour le Battle Pass saisonnier, tandis que les autres devront grinder jusqu’au niveau 55 sur 100 pour le débloquer. Et non, le prochain tank ne sera pas offert aux détenteurs du premier jeu, contrairement à Kiriko.
C’est long, très long, et même si Blizzard affirme qu’il envisage des ajustements du modèle économique pour rendre l’expérience globale moins contraignante, le studio n’a pas encore défini précisément son plan d’action. Baisser le niveau de Battle Pass requis pour débloquer le dernier héros serait un bon début.
