Bienvenue à Tertium
Les fans de Vermintide, et de Warhammer 40,000 par extension, l’attendaient de pied ferme : Darktide est enfin disponible sur Steam et dans le Game Pass pour PC. Le petit trailer de lancement avec des centaines d’hérétiques et de mutants qui meurent sous le coups de fusils laser et d’épées tronçonneuses était donc de rigueur.
Voilà déjà 2 semaines que les joueurs ayant précommandé le titre sur Steam peuvent s’en donner à cœur joie dans la cité ruche de Tertium, envahi par la maladie et les hérétiques qui ont refoulé la lumière sainte de l’Empereur-Dieu de l’humanité.
Sur le papier, Darktide propose une expérience très proche de Vermintide 2 grâce à un système de corps-à-corps toujours au poil, mais profite également de tout un panel d’armes à distance communs au 41e millénaire… dont les ennemis n’hésiteront pas à utiliser sur les parias (les joueurs) envoyés dans diverses missions suicides. Et puis, on a rarement vu l’univers de Warhammer 40,000 aussi bien retranscrit et immersif (et cauchemardesque à souhait), accompagné par une bande originale phénoménale signée Jesper Kyd (Assassin’s Creed, Vermintide).
Avec du contenu distillé au compte-gouttes durant l’accès anticipé, Darktide propose enfin l’ensemble de son contenu et de ses fonctionnalités. Bien qu’il faille une bonne trentaine d’heures pour monter un personnage au niveau maximum, le titre montre déjà des signes de faiblesse sur son contenu de fin de jeu, mais Fatshark assure que Darktide est pensé pour fonctionner sur le long terme, avec du contenu supplémentaire et des événements qui devraient arriver sur un rythme soutenu. Heureusement, chaque classe est suffisamment unique dans son fonctionnement pour qu’il y ait toujours matière à s’amuser.
Oh, et le studio suédois promet que l’optimisation du jeu ne peut aller qu’en s’arrangeant, parce qu’il faut avouer que le framerate n’est pas toujours au beau fixe dans les entrailles de la cité ruche.